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(tri)cotte de mailles

Publié le par Za

Tout frais, tout chaud, à peine sorti et déjà chez Dame Za !!! Enfin, déjà à la tête du lit de Petitou... Qui a dit que cet enfant avait trop de livres ?
Allez, le dernier en date (d'hier): le "Chevalier Xavier" de Martine Bourre ( Éd. Pastel ).
 

Xavier est jardinier. Choux, poireaux, fèves et lentilles, c'est son rayon. La guerre éclate. Notre Xavier fait briller son armure... Un seul hic: son cheval ne veut pas y aller, à moins d'avoir, lui aussi, une côte de maille.

Et c'est là que j'ai commencé à me dire que cet album avait sa place chez moi. A la question du cheval qui demande à Xavier où il a bien pu acheter sa cotte de mailles, ce dernier répond tout simplement: "C'est Maman qui me l'a tricotée." Et voilà...

Le mouvement gagne les autres chevaux qui refusent de guerroyer sans une cotte de Dame Suzanne, jusqu'au  destrier du roi qui en désarçonne son auguste monture !  Leur revendication est simple: "Plus question de continuer la guerre dans ces conditions ! Nous voulons des cottes en plomb ! Avec des boulons ! Des caparaçons ! Avec des pompons !"  Dame Suzanne se met alors à l'ouvrage...

Les dessins sont beaux et drôles. Un bien joli moment, juste avant d'éteindre la lumière...  ( et de descendre regarder le match de Rugby, mais c'est une autre histoire...)

Bonne nuit, Petitou...

 

Publié dans albums, Martine Bourre, Pastel

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les grandes personnes, vaudrait mieux en faire de la soupe !

Publié le par Za

C'est le titre d'un livre de Guus Kuijer (qui parmi vous saurait le prononcer ?).

Énervement n°1:
Il est de bon ton, dans certains cercles littéraires de mépriser la littérature de jeunesse, d'en faire une sous-littérature mièvre et inutile, tant il est merveilleux de lire Dostoïevski à 12 ans ! J'exagère à peine, je l'ai entendu à la radio, il y a quelques temps, dans la bouche d'un philosophe connu. Et là, je me retrouve en train de crier à mon poste : " Et Ponti, et Ungerer, c'est des coureurs cyclistes, peut-être ?! "  Ridicule, d'autant que je suis seule dans la pièce, personne pour profiter de ce bel énervement... Habituellement, j'aime mieux quand il y a un peu de public...

Énervement n°2:
Moi - Tu avais un livre à lire pendant les vacances ?
Demoiselle L., élève de 6ème - Oui, plusieurs chapitres des Métamorphoses d'Ovide, j'ai rien compris, et on avait un DM (devoir à la maison) dessus..

Grrrrrr.... Est-il vraiment urgent de faire lire Ovide à des élèves de 6ème ? J'entends, sans les accompagner dans cette lecture, non, mais en leur confiant simplement le livre à la veille des vacances,  " vous me lirez ça pour la rentrée. Circulez". Comprenons-nous bien, je ne suis pas en train de vous refaire le plan de la Princesse de Clèves.. Je n'ai rien contre l'idée d'initier nos petits bouts de lecteurs aux bons vieux classiques. Moi même, en classe... Mais c'est une autre histoire... Pourrait-on au moins essayer de le faire moins brutalement, s'il vous plait...

Je me demande souvent comment on peut transmettre à son tour ce qui vous a été donné, un jour, avec générosité, le sourire au coin des lèvres, la connivence en plus ?  Qu'est-ce qui fait naître un lecteur curieux, avide, heureux ? Cultivé, certes, mais d'abord heureux !
Pour les petits, pas de doute, il faut leur donner des textes à entendre ( ce qui satisfait pleinement mon goût du one-maîtresse-show !). Tout est bon à prendre, tout est bon à lire: Marie-Aude Murail (first !), Roald Dahl (ah ! contrefairrre la voix de la Grrrandissime Sorrrcièrrre), les aventures d'Ulysse, Andersen, Fifi Brindacier, Alice au pays des merveilles, le Petit Nicolas (ça marche toujours très bien), Susie Morgenstern, les contes de tous les continents et de tous les temps, Peau d'Ane, la Barbe-Bleue, le Petit Poucet, le Minotaure, Jason et la toison d'or, Baba Yaga, Soundiata l'enfant-lion, Nasreddine Hodja... Je vous cite ceux-là parce que je les ai tous essayés, avec bonheur.

Tiens, en parlant de Nasreddine Hodja, l'autre matin, ouvrant le manuel de Français (Facettes/Hachette) avec mes CM1 pour chercher un exercice sur l'imparfait, visez un peu ce que j'ai trouvé:

jdarwiche054


Si, si ! Notre Jihad dans les manuels scolaires !!! Bon, cette phrase s'adresse un peu exclusivement à certains de  mes fidèles lecteurs & amis... Pour ceux ne le connaîtraient pas, Jihad Darwiche est sans conteste le meilleur conteur de tous les temps, et je n'exagère pas (comme si c'était mon genre, d'ailleurs...) ! Ses nombreux recueils de contes se trouvent  sur les rayonnages des (bonnes) bibliothèques & des (excellentes) librairies. C'est également un être humain comme on en croise rarement, un ami très cher, un frère.  
 http://www.mondoral.com/spip.php?rubrique97


http://www.actusf.com/spip/IMG/jpg/LeBonheurSansPrevenirMoyen.jpgMais revenons à Guus Kuijer, parce que  moi, j'aime les livres Guus Kuijer (et que je ne me lasse pas son nom...) !  Et, délice, parmi les nouveautés de ce printemps, avec les hirondelles qui ne manqueront pas de revenir investir  les poutres du porche de la maison, arrivera également  le nouveau Guus Kuijer: "Porté par le vent vers l'océan". C'est le quatrième tome des aventures de Polleke (traduit en Français par Pauline). Pauline a un PC (père compliqué) aux prises avec la drogue, une maman qui file le parfait (?) amour avec l'instituteur, un amoureux, Mimoun, des grands-parents à la campagne, un veau comme animal de compagnie.
Tout ça se passe aux Pays-Bas, dans un quartier populaire d'Amsterdam. Il est question d'amour, de famille, d'amitié, ça part dans tous les sens, c'est vivant, bref, ça décoiffe ! Guus Kuijer ne s'encombre pas de politiquement correct, de langue de bois gnan-gnan. Et, j'allais oublier, en plus, c'est drôle !

Les quatre tomes des aventures de Pauline (" Unis pour la vie", "La vie, ça vaut le coup", "Le bonheur surgit sans prévenir" (j'aime ce titre) et "Portés par le vent vers l'océan") sont édités par l'École des Loisirs.



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les belles pages de Murat, Cantal

Publié le par Za

Et là, vous vous dites: ça y est, la neige a eu raison de son esprit, elle craque. Elle nous fait un article sur l'Auvergne. Eh bien oui ! Au milieu de ce blanc uniforme et déprimant ( un jour, je vous parlerai de mon aversion chronique pour la neige...), se niche une petite ville aux jolies ruelles en pente verglacées et casse-gueules. Je vous connais, vous n'êtes pas encore convaincus... Eh bien, sachez qu'au détour d'une de ces petites rues, telle  l'oasis au milieu du désert ( j'ai peur que la comparaison ne tienne pas face aux températures ambiantes, mais tant pis...), tel le Tuber Mélanosporum au pied d'un chêne ( pour une fois que j'arrive à placer un truc en latin, j'y vais !)... Donc, disais-je... Une vitrine, des livres...

UNE LIBRAIRIE !!!!!

Ceux qui ont assidûment fréquenté la librairie Lafontaine ( Privas, Ardèche ) connaissent le bonheur de pousser la porte d'une librairie un peu loin de tout et de la découvrir parfaite. Voici mon petit bonheur d'hier: "aux belles pages",46 rue du Bon Secours, 15 300 Murat.

On ne se refait pas, ce qui m'a d'abord sauté aux yeux, c'est le coin littérature jeunesse, magnifiquement achalandé: des classiques aux petites maisons d'éditions comme "l'Atelier du poisson soluble", que je ne connaissais pas mais dont le travail a l'air passionnant.
Quand au reste... Tout y est. Rien n'y manque: nouveautés & indispensables, littérature étrangère, polars, quelques BD, tout ce qu'on aime. Toujours avec le soin de mélanger les éditions connues et les autres. C'est à la fois clair et vivant. Et quand je dis que rien ne manque, il y a même des fauteuils pour se poser un peu (vous ai-je déjà dit que les rues de Murat étaient un tantinet escarpées ?), des bonbons au miel...
Je vous garde le meilleur pour la fin: l'accueil. Quel plaisir de s'entendre dire "bienvenue !", et ce, avec une pointe d'accent irlandais ! Un vrai libraire, à mon sens, est celui qui vous vend ce que vous n'étiez pas venu chercher, avec qui se crée une sorte de connivence. Je crois qu'on en tient un ! Alors voilà, on reviendra et on fera connaitre en se disant que les heureux habitants de Murat ont bien de la chance !

 

Pour des images, c'est ici  ou .

Publié dans in my heart

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pourquoi j'ai aimé lire la Princesse de Clèves...

Publié le par Za

C'est l'histoire d'un livre qu'on traîne sur ses étagères depuis si longtemps... Je ne sais même pas d'où il vient, peut-être est-il hérité de la bibliothèque du 4 place Cassaignol, Narbonne, Aude.

Il est relié de cuir gris-bleu. Il a voyagé d'une maison à l'autre, d'un carton à l'autre. Il est de ces livres qu'on croit connaître tant il est classique, dont on a dû lire des extraits dans son Lagarde & Michard, mais sans aller jusqu'à l'ouvrir.

Et puis un beau matin, à la radio, j'entends qu'on suggère qu'il est ridicule de le lire à l'école... Et voilà la (mauvaise) raison qui me pousse à le chercher. Je le pose sur ma table de nuit, au sommet de la pile vertigineuse des livres à lire... où je l'oublie. Mais il figure pourtant en bonne place parmi ce que j'appelle "mes romans de la quarantaine". C'est mon syndrôme quarantenaire à moi. Je rattrappe mes lectures en retard: Proust, Dickens, Stevenson, Dumas, Melville...

Et puis, un jour, l'envie de prolonger une visite au Louvre et je me lance. A nous deux Princesse !  Ceci dit, j'aurais dû m'entrainer à l'apnée avant... C'est touffu, touffu, tarabiscoté...

Portrait-d-une-jeune-fille-de-la-maison-d-Este-vers-1433.jpg" Il y a des personnes à qui on n'ose donner d'autres marques de la passion qu'on a pour elles que par les choses qui ne les regardent point; et, n'osant leur faire paraitre qu'on les aime, on voudrait du moins qu'elles vissent que l'on ne veut ête aimé de personne.[...] Et ce qui marque mieux un véritable attachement, c'est de devenir entièrement opposé à ce que l'on était, et de n'avoir plus d'ambition, ni de plaisir, après avoir été toute sa vie occupé de l'un et de l'autre."

Mais il y a là ce que j'aime ( à petite dose, j'entends ): l'imparfait du subjonctif  et le point virgule...

Rien n'est dit, tout est corseté, les sentiments emmurés. On s'épie. Quelques regards déclenchent des cataclysmes. On se meurt de tristesse et d'amour.

" Je perds par mon imprudence le bonheur et la gloire d'être aimé de la plus aimable et de la plus estimable personne du monde; mais si j'avais perdu ce bonheur sans qu'elle en eût souffert et sans lui avoir donné une douleur mortelle, ce me serait une consolation; et je sens plus dans ce moment le mal que je lui ai fait que celui que je me suis fait auprès d'elle."

Et cette manière d'utiliser sans cesse la négation: "sa passion n'était point diminuée", "il ne lui était pas indifférent", "M. de Nemours n'était pas effacé de son coeur"...

Et quand je dis tarabiscoté: "La jalousie n'avait point de part à ce trouble: jamais mari n'a été si loin d'en prendre et jamais femme n'a été si loin d'en donner"...

Finalement, je ne sais pas tout à fait expliquer pourquoi cette lecture m'a emportée et ravie. Mais j'ai refermé à regrets le petit livre gris-bleu.

Le suivant, en haut de la pile ?
Les trois mousquetaires !!








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les beaux métiers ou "mais que va-t-on en faire..."

Publié le par Za

Il y a quelques mois de cela... Petitou vient de passer un long moment à observer attentivement le ramoneur travaillant dans-sur-devant la cheminée du salon. Le ramoneur s'est longuement lavé les mains, puis il est parti.
- Mamie, c'est qui qui va choisir mon métier, plus tard ?
- C'est toi, Petitou.
- D'accord. Alors, je ferais pas ramoneur.
- Et pourquoi ?
- C'est trop sale.

mary-poppins.jpg

Avant-hier soir, Petitou nous cite Georges Prêtre (!) comme un exemple de très vieille personne.
- C'est qui, Georges Prêtre ?
- C'est un chef d'orchestre. Je l'ai vu à la télé, pendant le concert du nouvel an. (Merci Mamie, encore elle...)
- Et toi, plus tard, tu aimerais être chef d'orchestre ?
- Oh non !
- Pourquoi ?
- Je serai trop fatigué !

chef-d-orchestre.jpg

Alors ça m'a rappelé un joli poème de Jacques Charpentreau que j'aime faire apprendre à mes élèves:

Certains veulent être marins,
D'autres ramasseurs de bruyère,
Explorateurs de souterrains,
Perceurs de trous dans le gruyère,

Cosmonautes, ou, pourquoi pas,
Goûteurs de tartes à la crème,
de chocolat et de babas:
Les beaux métiers sont ceux qu'on aime.

L'un veut nourrir un petit faon
Apprendre aux singes l'orthographe,
Un autre bercer l'éléphant...
Moi, je veux peigner la girafe !



Moi, quand j'avais cinq ans, je voulais être bergère (de moutons)...
DSC04947 edited
 Je pense que tout le monde va adorer cette photo où je touche mon rêve... En plus un petit agneau noir tout doux, tout léger...


Et vous, c'était quoi, votre beau métier ?





Publié dans in my heart

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recette d'un samedi à Paris

Publié le par Za

Recette à clés où certains se reconnaîtront, où les autres ne comprendront pas tout mais où chacun pourra prendre ce qui lui plait !

Pour un beau samedi à Paris, prenez un petit garçon de 5 ans à peine, qui a fabriqué des colonnes de Buren à l'école et ne rêve que de les voir en vrai, lâchez-le dans la cour du Palais Royal. Il courra dans tous les sens en riant d'aise, en enlacera quelques-unes, allant même jusqu'à leur faire un poutou ! C'est ce qui s'appelle aimer l'art contemporain... De votre côté, profitez des quelques flocons de neige qui virevoltent dans le ciel bleu...

Puis rendez-vous d'un pas aussi vif que le froid en un lieu de délices légèrement retiré, voisin de l'Église Saint-Eustache ... rhâââ !!!

ladroguerie_logo.gif
Et là, laissez vous aller à vos obscurs penchants du moment... Breloques, boutons, babioles, livres... Même la demi-heure d'attente devient un plaisir, à discuter bidouille dans la file, à se rendre compte que les petitoux portent le même angélique prénom... Au passage, remerciez le dit Petitou pour sa sagesse et sa patience, alors qu'il serait si tentant de toucher à tout....

Voilà, munie de votre précieuse cargaison (la carte bleue risque d'en garder des courbatures), laissez-vous entraîner vers un endroit proche, car il est plus que l'heure !

pied de cochon052(spéciale dédicace à C.)

Il sera alors temps de reprendre le fil culturel de notre recette du samedi parfait.

Emmenez Petitou rassasié  vers une destination solennelle, intégrale & définitive (citation d'une poétesse kényanne), j'ai nommé le Louvre. Partez alors à la chasse au lion dans les salles et cours du département des sculptures françaises ( et il y en a un brave moulon !). Laissez libre court à votre bonne humeur, fou rire, bêtises, complicité mythique, références littéraires plus ou moins foireuses et passez une heure délicieuse et cocasse.

Gavez-vous au passage de beauté, comme on trempe son doigt dans la bassine à confiture ou la pâte à gâteau ( les photos n'étant pas libres de droit, cliquez sur les liens et régalez-vous) :

petite dame à croquer, Loiselienne avant l'heure:
http://www.insecula.com/PhotosNew/00/00/03/52/ME0000035234_3.JPG

Petitou est tombé en arrêt devant cette scène, il a fallu le descotcher de la vitrine...
http://www.insecula.com/PhotosNew/00/00/03/52/ME0000035221_3.jpg

le titre donné à celui-ci ("ange portant deux burettes") et son air ravi feront, j'en suis sûre, la joie de tous & toutes...
http://www.insecula.com/PhotosNew/00/00/03/48/ME0000034838_3.JPG

pour amateurs de bizarre, observer le ventre de cette pov'Jeanne de Bourbon, bien morte, il me semble...
http://www.insecula.com/PhotosNew/00/00/03/47/ME0000034725_3.JPG

Voilà.
Dites au revoir, reprenez le métro, le train, la voiture et installez-vous devant votre écran pour partager avec ceux qui vous sont chers cette recette du  beau samedi !
Le mot la fin à Petitou: " Dis Maman, on pourra aller tous les samedis à Paris ?"


Publié dans in my heart

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collages

Publié le par Za

Je me livre parfois à ce genre d'activité: de la colle (j'utilise volontiers le vernis colle vendu pour faire des moches choses en serviettes en papier), un pinceau, des ciseaux biscornus et surtout des tonnes de photos de magazines patiemment arrachées découpées. Je stocke, je stocke, et un jour, ça donne un cahier, un classeur...


collage 1



collage 3

collage 2


Publié dans bidouilles

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il y en a qui s'impatientent

Publié le par Za

KIF_5531.JPG

Publié dans in my heart

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let it snow

Publié le par Za

KIF_5470.JPG

Publié dans in my heart

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petit poilu

Publié le par Za

Pour les fans de BD, pour ceux qui ont dans les environs des petites personnes qui ne savent pas encore lire, pour ceux qui savent s'émerveiller de jolies histoires pas idiotes, réjouissez-vous: voici Petit Poilu !!! Dessins de Pierre Bailly, scénario de Céline Fraipont, tout deux belges, comme il se doit !

Petit-Poilu.jpg

C'est une bande-dessinées sans texte, très bien fichue, drôle, tendre, pas cul-cul pour deux sous. Tous les matins, Petit Poilu se lève, petite toilette, petit déjeuner, et hop, il se rend à l'école... où il n'arrive jamais car il lui arrive toujours d'extraordinaires aventures... Ce qui me touche particulièrement, c'est que lorsque la situation est critique, il tire de son sac une photo de lui avec sa maman, et hop, c'est reparti ! Voilà, voilà...

Nous, on vient de se régaler du petit dernier qui vient de sortir:


petit-poilu2.JPG

... et qui commence comme ça:

petit-POILU-planche.jpg

Pour lire la suite, il suffit de courir chez son libraire BD préféré (le nôtre se trouve à Dunkerque, hélas...) !
(Petit Poilu est publié chez Dupuis.)
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