une bible
Evidemment que je ne l'ai pas lu ! 385 grandes pages, 3 bons kilos. Vous pensez bien que ce n'est pas le genre d'objet auquel on s'attelle un soir en annonçant : "bon allez, je m'y mets !" Mais si j'attends de l'avoir terminé, vous aurez une longue chronique dans quelques années... Alors je vais le chroniquer comme je vais le lire, à petite dose, et dans le désordre, forcément.
J'étais curieuse de savoir comment Philippe Lechermeier et Rébecca Dautremer avaient traité la Nativité.
rencontre la jeune Marie. Il n'est pas un ange mais un homme oiseau.Et c'est une belle histoire qui court de l'humble étable aux palais somptueux des Mages, dans une langue fluide et évidente. L'homme oiseau accompagne les protagoniste, les pousse les uns vers les autres.
Quand il fut bien loin, tellement loin qu'aucun homme, même en grimpant au sommet de la montagne la plus élevée, même en ouvrant les yeux très grands, n'aurait pu porter son regard jusque-là, il sut qu'il était arrivé.
Par une fenêtre, il pénétra dans une somptueuse demeure.
C'est la que vivait Melchior, le grand magicien persan.